L'ami TONNELIER veut monter un graisseur sur ses roues .. Pas bête, mais il y a un mais (ca ma rappel quelque chose)
Le montage d'un graisseur, sur le principe semble simple ... pas si simple:
Un graisseur coudé déjà, ca va de soit, car le passage de l'embout de pompe à graisse exige de la place 3 à 5 cm, avec tube coudé rigide, car un flexible, ce n'est pas terrible.
D'après mes souvenirs
, le pas de vis du graisseur n'est pas ISO .. Mais je peux me trompé.
Le perçage et le taraudage risque d'être un grand moment de solitude, du à l'emplacement centré sur le moyeu de jante, le passage de la perceuse
Il existe des coude de perçage (j'ai) mais les taraudages risque d'être FUN, avec une clé à cliquet type midjet en guise de tourne à gauche, ca devrait être jouable.
L'emploie du graisseur :Les graisseurs ne sont pas non plus des systèmes à 100% fiable, combien de fois j'ai du en changé, et ce pas dans en atmosphère salin et sableux.
La graisse entre, et ressort ...
du justement au principe bille/ressort.(quand c'est HS)
Pour evité d'avoir à envoyer du sable et tout autre chose lord du graissage, le proteger ,la solution, que j'ai eu aussi sur d'autre système reste un capuchon sur le graisseur avec une petite attache pour le rendre imperdable.
L'emploie de la graisse :1- un bon principe de graissage devrais être étanche .. Ce qui n'est pas franchement le cas ,dut au passage de vis dans le roulement. (Y posé un cache roulement en externe serais la solution pour le coté tête de vis, et un joins à lèvre (joint spi) du coté axe arrière.
2- Comme cela n'est pas étanche, ni en sortie, ni en entré, la graisse va ressortir, c'est bien, mais la crasse va entrer .. et oui !! c'est comme cela.
3- la graisse et la crasse fait bon ménage .. un bon cake..
quid de la graisse sale.. la chassé avec de la graisse propre.. ce n’est pas gagné.
4- la quantité de graisse dans le moyeu ?? je l'estime entre 30 et 50 gramme ..par roue. est vraiment économique ? je ne pense pas.
5- le coté pratique lord du démontage, ca va être un grand moment de bonheur pour, les mains et le coffre de voiture .. je ne parle même pas des fringues.. et même du gamin
qui va vouloir "faire tourner la roue"
6- même si la graisse maintiens en vie le roulement, le vrai moment de bonheur risque d'être au changement de roulement , il faudra enlever tout.. pour un montage propre.
7- sur roulement à flasque étanche , je ne vois pas trop le coté pratique ..ou alors des roulements sans .. en interne .
8- la graisse, de par la vitesse de la roue (chauffe) va se transformé en un petit liquide, qui va entrer dans le roulement, par refroidissement la retransformassions en "graisse" et par la même le transport d'eau et divers petites saleté va rester dans le roulement. Mais pour la ressortir .. même pas la peine.
J’utilise, pour nettoyer mes roulements, quand c'est encore sauvable, un bac à ultra-son avec trichlo impec, mais sur des roulements de récup.. avec de la graisse pas très propre .. meme pas la peine .. c'est du délire .. je vire le cache .. et là misère .. quand il y a de la graisse dedans .. direct poubelle.
9-de par la vitesse aussi (centrifuge) la graisse ... va partout sauf au bon endroit .
Le principe de graisseur reste intéressant, mais :
Sur montage étanche
Non démontable à chaque sortie
Le principe de graisseur pourrait être intéressant sur tube de timon en liaison fourche en tenant compte des remarques si dessus.
Simple à faire, sur tube usiné, pas en emboutie (du à l'épaisseur). Et en tenant compte de l'étanchéité par joins spi, et sans démontage de la fourche.
Le percage en passant par le trou de la valve reste bien pensé (POUP'S) .... pour le tareau ????